
La profession d’ingénieur fait partie des métiers de l’avenir.
Déjà, qu’on pense au REM, au pont de l’Île d’Orléans ou à l’ambitieux Plan québécois des infrastructures 2021-2031, les grands chantiers explosent et, avec eux, les besoins en main-d’œuvre. Le gouvernement du Québec a d’ailleurs identifié le génie comme secteur prioritaire – avec la santé et les technologies de l’information – où il faut mettre en place des mesures d’envergure pour assurer la relève. Le Québec aura besoin de 50 000 professionnels du génie d’ici 2030. Il faut donc dès maintenant attirer de nouveaux talents, non seulement des ingénieurs mais aussi des techniciens, spécialistes en environnement et autres experts qui contribuent activement au succès des projets.
J’ai le plaisir de signer encore une fois cette année un cahier spécial de 16 pages sur le génie d’ici. Publié le 12 mars dans tous les grands quotidiens du Québec. Envie de jeter un oeil à la version numérique ? C’est ici.

Quel privilège de rédiger un cahier spécial de 16 pages à paraître dans les grands quotidiens du Québec ! Encore plus quand on doit s’entretenir avec quelques « génies » de la lampe. C’est fou de voir à quel point le génie-conseil a le vent dans les voiles avec des projets plus grands que nature. C’est encore plus fou de voir à quel point la science et le génie travaillent main dans la main pour trouver des solutions d’avenir aux problématiques actuelles. Quand la technologie s’en mêle, attendez de voir les résultats !