
J’ai toujours aimé raconter des histoires. Raconter celle de la Haute-Mauricie par le biais d’un circuit d’interprétation, quelle belle opportunité ! Cet été, j’ai réalisé une série de 14 panneaux qui cette semaine prennent leur place de façon toute naturelle dans le paysage de La Tuque, là où cohabitent harmonieusement autochtones et allophones dans une nature plus grande que nature. Leur histoire m’a touchée, comme celle de la rivière Saint-Maurice et des forêts majestueuses que protégeaient jadis de courageux pilotes d’avions de brousse. La pêcheuse à la mouche en moi connaissait déjà la beauté des lieux – il faut voir leurs pourvoiries pour le croire – mais plonger ainsi au coeur de l’histoire m’a profondément touchée. Plusieurs familles pionnières de la région ou passionnées par celle-ci ont su notamment y transformer l’eau en énergie et redonner au suivant.
Le circuit d’interprétation culmine d’ailleurs vers un point névralgique de la ville, le lac St-Louis, où est projeté sur l’écran d’eau de l’amphithéâtre naturel du Centre Sakihikan le sympathique film Atisoko (Raconte-moi, traduit de l’amérindien) auquel j’ai contribué au scénario et écrit la trame narrative. Le film, d’une durée de six minutes, permet de découvrir la diversité, l’unicité, de même que la cohabitation des deux cultures qui chaque jour, s’enrichissent l’une de l’autre. Ici, l’amour est sans réserve.
Merci Tourisme Haute-Mauricie pour la confiance.




À Sutton, l’art est partout: en galeries comme dans les fabriques de bagels, microbrasserie locales, épiceries fines et cafés branchés où discuter culture est tout naturel. Tout ça et plus encore témoigne de la vitalité d’un village où il fait bon vivre et créer. Le plus récent numéro de Art Magazine – le magazine des arts visuels des Cantons de l’Est – met en vedette quatre artistes – au féminin – de Sutton, inspirées, inspirantes. Parmi elles, la rebelle et spontanée Vicki Tansey, une exploratrice née comme en témoigne sa façon de créer. À la fois peintre et danseuse, l’artiste multi-talents de 76 ans offre des ateliers en arts visuels depuis plus de 45 ans. L’exploration du mouvement fait partie intrinsèque de son approche unique qui invite à sortir de sa zone et à mettre aux oubliettes toute forme d’enseignement en laissant libre cours à l’improvisation.
![42-43.Tourisme Gaspesie_ete_2021[2]](http://www.dianelaberge.com/blogue/wp-content/uploads/2021/04/42-43-tourisme-gaspesie_ete_20212-590x356.jpg)
Encore une fois cette année, j’ai la chance de mettre la Gaspésie en valeur dans les pages du magazine Géo Plein Air. Deux fois plutôt qu’une. Entre Gaspé, Percé et toute la péninsule, tout y passe ! Y compris ma liste des 10 sentiers de randonnée incontournables, hors circuit ! Hé oui, la Gaspésie a encore de beaux secrets…à partager.
Vous êtes proprio? Vous savez donc que les
Le 20 mars marque la Journée internationale de la Francophonie. Cette journée est l’occasion parfaite pour célébrer la passion d’une langue que partagent plus 33 millions de francophones et francophiles dans les Amériques. Le Soleil est fier de faire rayonner la langue de chez nous par le biais de quelques-uns de ses grands défenseurs dont le Centre de la Francophonie des Amériques, Druide, LOJIQ et le Ministère des relations internationales et de la francophonie.